Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle : Du Candaulisme À LAdultère (5 : La Fessée)
Jai déjà publié quatre textes sur ma relation adultère avec N et ses conséquences : le 27 octobre, le 25 novembre, le 7 janvier et le 6 février.
EN COUPLE AVEC AGUN
Dans mon texte du 6 février, jai parlé de mes retrouvailles avec Agun. Elles avaient été particulièrement chaudes.
Depuis ce jour-là, nous vivions en couple. Nous étions aussi amoureuses que lors de notre première rencontre, 13 ans auparavant. Nos nuits étaient courtes, nous dormions peu, insatiables lune de lautre, voulant rattr le temps perdu et moi cherchant sans doute à faire oublier mon comportement, même si Agun ne demandait rien de tel. Nos caresses, nos baisers, nos ébats nous avaient tant manqué. Nous savions ce que lautre aimait, comment la mener à la jouissance. Contrairement à ce qui sétait passé le jour de nos retrouvailles, javais désormais retrouvé auprès dAgun mon rôle « dirigeant » dans nos ébats, de celle qui prend les initiatives.
Agun devait être bien fatiguée en se rendant à son travail, mais elle était heureuse de ce bonheur retrouvé. De mon côté, je pouvais me reposer en journée, en attendant le retour de ma compagne. Je me retrouvais dans une position étrange, celle dune femme entretenue par Agun. Jessayais de retrouver du travail, mais ça savérait très compliqué, compte tenu de mon âge (40 ans) et après plus de 15 ans dinactivité. Il y avait bien eu la tentative faite un peu plus de deux ans auparavant et qui sétait avérée désastreuse, me poussant à démissionner au bout de quelques mois (voir : « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (53) : le bureau. », paru le 29 novembre 2018). Mon ancien chef, Denis, que javais quitté très fâché, naurait certainement pas dit grand bien de moi si javais donné cette référence. Jacceptais mal le fait de vivre aux crochets dAgun, même en sachant que nous sommes un couple, que je lui donnais tout mon amour et prenais soin delle, me comportant déjà en parfaite femme dintérieur.
LINTRANSIGEANCE DE PHILIPPE
Depuis mon retour, Philippe avait refusé catégoriquement de me parler et avait fait savoir quil naccepterait pas que je revienne au domicile conjugal. Je ne me plaignais pas, sachant combien je lavais blessé et pensant que tout cela était hélas irréversible.
Il ne sopposait évidemment pas à ce que je puisse revoir les s, mais avait demandé que ce soit en présence dAgun et en évitant tout contact avec moi.
Les choses étaient très dures, je dirai même douloureuses.
Mon ainée, Lucie, âgée alors de 8 ans, refusait de me voir et quand Agun et Philippe ont fini par la convaincre, elle ne voulut pas que je lapproche et me dit quelle me détestait. Il aura fallu par la suite du temps et du travail pour que nous retrouvions des relations normales entre mère et fille. Ce soir là, jai beaucoup pleuré dans les bras dAgun, je lui disais que javais tout gâché et que, sans elle, jaurais voulu mourir.
Cétait encore plus compliqué avec Hassan, qui avait repris la garde de notre ma seconde fille, Leila, âgée de 6 ans. Il refusait absolument tout contact entre elle et moi. Je refusais pour le moment les procédures que me conseillait dengager mon avocat, pour faire respecter mon droit de visite.
Les choses étaient différentes avec la dernière de mes filles, Sofia, qui navait que 4 ans, qui me donnait tant de bonheur en me couvrant de bisous, mais qui comprenait mal pourquoi je ne restais pas avec elle. Quand je men allais, avant le retour de Philippe, comme nous en étions convenus, ses larmes me brisaient aussi le cur.
Malgré tout lamour dAgun, jétais donc sévèrement punie pour toutes mes fautes et profondément malheureuse pour le mal que javais fait autour de moi, surtout à mes s.
Philippe était intransigeant : il voulait le divorce, mais aussi la garde de nos deux filles. Hassan avait la même position en ce qui concerne la garde de la petite Leila.
Agun, avec sa douceur et son amour sans limites pour moi, tentait en vain damadouer Philippe.
Philippe, Olga est bien consciente que cette fois, elle a été trop loin. Tu sais, elle taime, tu es et reste lhomme de sa vie.
Le moins quon puisse dire est quelle ne la pas beaucoup montré depuis lété dernier. Pas davantage quelle sest comportée comme une mère quand elle les a abandonnés pour rejoindre son amant.
Je ten supplie, donnes-lui une chance !
Je sais comment sest passée sa rencontre avec Lucie. La petite men a parlé. Je nai pourtant jamais dénigré Olga auprès delle. Et pourtant, elle ma dit quelle la déteste, quelle ne veut plus la revoir, quelle ne veut pas quelle revienne à la maison. Dans un divorce, la mère a presque toujours la garde des s. Dans son cas, ça sera différent. Je demanderai la garde de Lucie et de Sofia. Et que le doit de visite soit très encadré.
Je ne te savais pas si cruel. Philippe, Olga est une mère.
Et bien, elle aura l que lui a fait son maquereau. Ninsiste pas Agun, jirai au bout de ce divorce. Cest fini.
Tu as pensé à ce quelle deviendra ? Tu sais bien quelle aura beaucoup de mal à retrouver un travail.
Elle ne le mérite pas, mais je suis prêt à lui proposer une pension alimentaire.
Elle ma dit quelle nen voulait pas, elle aurait trop honte.
De toute façon, elle nest pas seule. Tu es là. Tu laimes, vous vivrez ensemble. Quand elle sera divorcée, tu lépouseras.
Tu sais bien que je suis déjà la femme dOlga. Elle ma en effet proposé, une fois divorcée, quon se marie, parce quelle est convaincue que tu ne pardonneras pas. Je serai la femme la plus heureuse au monde, mais je sais que ce nest pas ce quil faut pour elle, pour les s, pour toi. Jaime Olga depuis le jour où je lai rencontrée et je laimerai toute ma vie, je nai pas besoin dun mariage pour ça.
Ce nest pas mon affaire. Cest à vous den décider. Je pense que tu es la seule qui peut lapaiser, peut-être même éviter ses excès. Ensemble vous élèverez cet .
Cet a besoin dun père et le meilleur père cest toi.
Désolé, cette fois, je nassumerai pas.
Tu oublies que les autres fois, cest toi qui lavait poussé vers les pires excès.
Tu as raison, mais cette fois cest autre chose : ce nétait pas du candaulisme, mais un adultère, pire, une trahison. Je sais, elle ma trompé si souvent, mais cétait différent, je lavais voulu, jétais le témoin, le complice de son plaisir et jai adoré ça. Ce qui sest passé change tout.
Tu ne lui as pas pardonné sa réaction lors de la découverte de ta liaison avec Ambre (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie », publié le 5 juillet 2018)
Elle avait réagi très violement et avait exigé que je rompe brutalement avec cette fille. Oui je nai pas oublié ça. « Faites ce que je dis et pas ce que je fais », ça suffit maintenant !
Tu ne veux pas écouter aujourdhui, mais je ne renoncerai pas tant que vous ne serez pas de nouveau ensemble. Je veux te voir la baiser. Je sais que tu as toujours envie delle et cest dailleurs pour ne pas céder à la tentation que tu refuses de la voir.
Ton amour pour Olga est infini, Agun. Cest admirable, mais tu perds ton temps : cest non !
LA FESSEE
Je connaissais lopiniâtreté dAgun, mais elle ne pouvait pas me mentir : la situation paraissait bloquée, le divorce inévitable, la catastrophe était annoncée.
Ma mère avait elle aussi essayé de plaider ma cause auprès de Philippe. En vain.
Je décidais alors de tenter le tout pour le tout, de forcer le destin. Agun sétait soigneusement renseignée pour la date de lopération. Nous avions mis Christine dans la confidence, qui avait obtenu de Philippe de prendre quelques jours les filles chez elle, lors de vacances scolaires.
Comme pour Agun, javais toujours les clés de la maison de Philippe. Je suis arrivée le soir, assez tard pour que personne ne puisse me voir. Je nai pas cherché à rentrer, ça aurait été la dernière chose à faire. Je nai pas sonné. Javais choisi de porter une de ces tenues sexy quil affectionne, un tailleur échancré, un chemisier clair sous lequel je ne portais pas de soutien-gorge, une jupe courte. Je me suis installée devant la porte, en boule et jai attendu. Nous étions au printemps et, malgré mon imperméable, javais froid. Il sest passé de longues heures, pendant lesquels jai longuement réfléchi à mon parcours, où javoue avoir prié et pleuré. Jai fini par mendormir vers le matin et jai été réveillée quand la porte sest ouverte. Cétait Philippe qui sapprêtait à sortir pour aller à son travail.
Je me suis levée, je nai rien dit, jai baissé les yeux et je me suis mise à genoux, en disant simplement « pardon »
Quest-ce que tu fais là ? Vas-ten ! Je tai dit que je ne voulais plus te voir, tu as compris ?
Son visage était emprunt de colère, son regard était dur. Il me prit assez brutalement par le bras, pour me chasser. Il me faisait mal, mais je ne disais rien.
Jai alors voulu mapprocher pour me jeter dans ses bras, pour quil sente mon désir. Je voulais prendre ses lèvres. Il détourna la tête, pour éviter mon baiser, et me repoussa assez vivement.
Ah non ! Pas ça !
Cest alors quest partie une première gifle, puis une seconde. Elles étaient violentes et exprimaient sa colère, lui qui navait jamais levé la main sur moi.
Pardon, je naurais pas dû !
Si, tu as bien fait. Je te le demande, donne-moi la correction que je mérite, pourvu que je retrouve une place auprès de toi.
Ce jour-là, Philippe aurait pu faire de moi ce quil voulait. Son regard exprimait sa colère, mais aussi son désir. Il me déshabillait du regard. Le connaissant bien, il ne mavait pas échappé quil bandait. Quoiquil en dise, je ne lui étais pas indifférente, il avait toujours envie de moi. Je savais que le chemin serait encore long et que je devais être prudente dans mes initiatives. Je me taisais donc, baissant toujours les yeux en signe de soumission.
Je sais ce que tu veux, que je te baise et tu espères que ça soldera les comptes. Ne te fais aucune illusion, je ne te toucherai pas, tu me dégoutes trop. Par contre, te donner une bonne correction, après tout pourquoi pas, tu ne las pas volée !
Il me prit par la main et me fit entrer sans ménagement dans lappartement, me conduisant dans le salon. Il sinstalla sur le canapé.
Enlève ta jupe et viens. Couche-toi sur mes genoux !
Il descendit ma culotte.
Je sais ce qui mattend et jen ai envie, il sait bien que jaime ça. Je suis excitée, ma chatte est trempée, mes tétons sont durs.
Philippe matt par le bras et me couche sur ses genoux. Je sens contre moi sa formidable érection. Je résiste difficilement à la tentation, jai envie de toucher cette queue que jadore, de la branler, de la prendre en bouche, je voudrais tant le pomper, quil se vide dans ma bouche, quil me baise. Je sais quen essayant de faire ça, je gâcherai tout, que je dois lui laisser entièrement linitiative.
Il commence la fessée, dabord doucement puis accélère le rythme et la force des claques.
Devant cette avalanche, je ne peux me contenir. Si je parviens à ne pas crier, je pleure à gros sanglots et en même temps mon excitation augmente.
Jaimerais tant me doigter et branler mon clito, alors que le bruit des claques résonne dans ma tête. Je devais me contenter de me frotter sur sa cuisse, alors quest si proche cette queue qui comblerait mon désir.
Je sens mon derrière brûler. Je halète alors que Philippe sacharne. Sa main tombe inlassablement, parfois en alternant une fesse puis lautre, parfois en séries rapides sur chacune de mes fesses sans négliger le pli fessier si sensible.
Il continue, plus lentement mais tout aussi fort. Entre chaque claque, il pose sa main sur mes fesses qui commencent à être chaudes. Il répartit bien ses claques sur toute la surface, descendant jusquau haut des cuisses. Au fur et à mesure que mon cul rougit, jécarte les cuisses.
Oh Philippe, oui, punis ta putain. Vas-y mon chéri, plus fort, je le mérite ! Encore !
Mes paroles eurent pour effet quil me fessa encore plus fort :
Tu es un démon !
Je sais, je suis une salope. Ta salope ! Punis-moi, mon chéri. Vas-y ! Oh je vais jouir !
Jamais Philippe ne sétait comporté ainsi. Je découvrais un autre homme et il réagissait comme je le voulais, avec fermeté et virilité.
Après plusieurs séries, il sarrête enfin, au moment même où je jouis, me laissant inerte sur ses genoux, avec les fesses en feu.
Il ny avait pas été de main morte et je men souviendrai quelques jours.
Jaurais voulu que ces jeux, que nous avons toujours pratiqués, continuent, aillent plus loin. Je nosais pas lui demander, mais jaurais voulu la cravache car je nétais pas apaisée. Jaurais surtout voulu quil me prenne, quil me baise.
Philippe ne répondit pas à mes attentes, voulant sans doute ne pas entrer davantage dans mon jeu et craignant de perdre le contrôle de la situation. Il ma dit par la suite quil avait eu terriblement envie de moi et avait dû faire un immense effort pour ne pas me baiser.
Ca suffit maintenant, tu as eu ce que tu voulais et ça ma fait du bien aussi. Maintenant, remets ta culotte et ta jupe et tu dégages. Ne timagine pas que jai changé davis le moins du monde en ce qui te concerne. Mon avocat appellera le tien pour quon en finisse.
Malgré mon désir, mon instinct me disait de ne pas insister. Cette mémorable fessée était un premier pas, je le pressentais.
Je devais être patiente car je savais quil serait de nouveau tenté par tous les jeux quil pouvait pratiquer avec moi et ne retrouvait certainement pas auprès de sa maîtresse. Il me mit dehors sans ménagement, sans un mot ni un geste de tendresse, refusant à nouveau un baiser.
Je fis un compte-rendu complet à Agun, qui, en mettant du baume, fut impressionnée par létat de mes fesses :
Et ben dis-donc il ny est pas allé de main morte !
Il bandait et je sais quil me désire toujours. Rien que le fait quil ait posé les mains sur moi, même pour me donner la fessée de ma vie, jai adoré. Je ferai tout pour reprendre ma place à ses côtés. Aïe, vas-y doucement chérie avec la pommade, ça me brule.
Mon pauvre amour, cette brute ta mise dans un bel état !
Jai pris mon pied tu sais. Il faut arriver à le convaincre daller plus loin.
LA CLE DU CANDAULISME
Philippe est candauliste et ce fantasme il ne la réalisé quavec moi.
Ses autres compagnes avaient refusé de lui accorder le plaisir dêtre le témoin de leur plaisir avec un autre homme. Cest même ce refus qui a provoqué, par deux fois, la rupture entre lui et Flavienne, laquelle pensait pourtant lavoir reconquis à mes dépends, alors que jétais la maitresse dHassan (voir en particulier « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple. » publié le 28 septembre 2017 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (34) : adultère
avec Philippe. », publié le 7 octobre 2017).
Or Agun avait réussi à savoir quil en était de même avec Théodora, la maîtresse de Philippe qui, malgré les demandes de celui-ci, refusait fermement de « faire ça ».
Agun et Philippe étaient, au fil des années, devenues très proches. Philippe avait fini par avouer combien ça lui manquait, à lui le candauliste, de voir sa femme lui offrir le spectacle de son plaisir avec dautres hommes. Et il reconnut que seulement moi lui avait permis de réaliser, au-delà de toutes ses espérances, ce fantasme qui était si présent chez lui. Ce fût ma femme, ma compagne et mon mari, qui alors quil sapprêtait à divorcer, qui furent complice dune séance décisive qui a permis de recoller les morceaux.
Philippe, pourquoi tu te prives dune telle femme ? La seule qui ta permis de satisfaire ton candaulisme.
Parce quelle ma trahi en tombant à nouveau amoureuse dun autre. Parce quelle a abandonné ses s pour cet homme. Parce quelle a été jusquà lui offrir ce qui métait réservé, sa dernière grossesse.
On ne peut pas effacer le passé. Mais crois-moi, elle a compris la leçon et elle est prête désormais à sen remettre complètement à toi. Il ny aura plus décart. Je ne laccepterai dailleurs pas moi non plus.
Javoue que ça me manque de la voir se faire baiser devant moi. Et je tavoue que lautre jour, quand je lui ai mis cette mémorable fessée, jai du faire un immense effort sur moi pour en rester là. Je crevais denvie de la baiser.
Alors, laisse-toi tenter. Organise les choses, tu verras comme elle te sera obéissante désormais. A partir du moment où, de temps en temps, tu lui offres ce plaisir dont elle a besoin, en ta présence et sous ton contrôle, tu répondras aux besoins de son hypersexualité et à tes envies de candaulisme.
Tu es très particulière, Agun. Ca fait des semaines que tu te bats pour que je pardonne à Olga, alors que je me suis juré de ne pas passer léponge. Cest contre ton intérêt car, en cas de divorce, Olga navait plus dautre choix que dofficialiser son couple avec toi. Pourquoi tu as fait ça ?
Je te lai déjà dit : parce que jaime Olga à la folie et que je veux son bonheur. Ce bonheur, jen fais partie, mais il repose aussi sur sa famille, donc sur ses s et sur toi.
Tu avais pourtant loccasion de lavoir pour toi toute seule. De lépouser.
Olga est notre femme, à toi et à moi. Autant je serais folle de limaginer dans les bras dune autre femme, autant jai envie de la voir dans les tiens et soumise à ce que tu pourras organiser pour son plaisir et le tien.
Je vais réfléchir à tout ça et je reviendrai vers toi pour te dire ce que jai prévu et qui me fera décider de reprendre ou non la vie commune avec Olga.
Agun était triomphante quand elle vint me rapporter cette conversation. Je mesurais doù je revenais, je nétais pas passée loin de la catastrophe quaurait représenté pour moi et notre famille une rupture définitive avec Philippe.
Jattends ce quil va organiser. Je suis impatiente et excitée. Et je ne le décevrai pas. Sans toi, rien naurait été possible. Tu ne peux pas imaginer comme je taime, mon Agun.
Ce soir-là, Agun et moi, nous avons fait lamour avec passion. Pour la première fois depuis des mois, jétais pleinement heureuse, soulagée de savoir que jallais retrouver Philippe et les s, même si rien nétait encore fait.
Le candaulisme, qui avait fragilisé notre couple et si souvent menacé sa pérennité, allait cette fois paradoxalement permettre de le reconstruire. Jattendais ce que Philippe avait préparé et jentendais bien me montrer à la hauteur de ses envies.
(à suivre : retour au candaulisme)
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